L’INPPLC révèle une perception négative persistante de la corruption parmi les entreprises marocaines, notamment dans les secteurs des licences, des marchés publics et de l’emploi. La faible propension à dénoncer ces pratiques dévoile un sentiment de résignation face à la corruption, appelant à une mobilisation renforcée et à des politiques plus efficaces pour éradiquer ce fléau, selon le Matin.