L’avocat général auprès de la CJUE a souligné dans un avis du 21 mars 2024 que le peuple du Sahara occidental ne compte aucun représentant susceptible d’exprimer un consentement en son nom. Cette position s’inscrit dans la lignée des positions des institutions européennes, mettant en lumière ce que, aux yeux de l’UE, le Polisario n’est pas.