Le Maroc souhaite sécuriser ses exportations vers les États-Unis en anticipant l’impact de la loi IRA sur les exportations marocaines. La loi vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre et offre des subventions pour les investissements dans les secteurs du véhicule électrique, de l’éolien, du solaire, de l’hydrogène vert et des batteries. Le Maroc, qui exporte déjà dans l’automobile électrique, l’hydrogène vert et les batteries, ouvre des négociations directes avec les États-Unis pour atténuer tout impact négatif. Avec un accord de libre-échange en vigueur depuis 2006, le Maroc est un partenaire clé des États-Unis en Afrique, avec des échanges commerciaux estimés à 3,3 milliards de dollars en 2020. Ils ont également des accords dans le domaine agricole, industriel et des services, avec un appui technique à travers divers programmes. (Source: Aujourd’hui le Maroc)